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La belle histoire, deuxième chanson des Tours d'ivoire

Je vous offre ce petit voyage dans mon enfance, là où vit pour l'éternité la nostalgie de mon Nord massif... Le toit du collège Madame d'Epinay que j'escaladais trop souvent, la Cabane construite au pied du Grand Chêne des jardins ouvriers, les bonbecs et les clopes qu'on piquait dans la civette de mémé Valentine, le chemin du solfège qui menait à l'auditorium… Et puis les copains de la fosse, René le livreur de charbon et sa voix rocailleuse ou les métallos d'Usinor qui ramenaient le pain d'alouette à la maison…

Tant d'ombres et de visages familiers… Qui s'en souvient vraiment ?


Se souvenir d'un temps où l'avenir était teinté d'espoir et de promesse peut nous offrir un nouveau regard sur notre passé. Nous sommes ainsi conviés à contempler notre existence avec une perspective différente, à travers une fenêtre qui nous permet d'apprécier l'étendue de notre parcours. Dans cette contemplation, nous pouvons peut-être apercevoir cette étincelle de joie et d'enthousiasme qui nous animait dans notre jeunesse. Cette flamme d'espoir et de rêve qui, bien qu'étouffée par les tourments de la vie, continue de brûler en nous. En observant avec une attention renouvelée cette lueur fragile, nous pourrions alors prendre conscience que nous avons le pouvoir de la raviver et de la nourrir, afin qu'elle éclaire de nouveau notre chemin.

Ainsi, se souvenir d'un passé plus radieux peut être perçu comme une invitation à nous reconnecter avec notre potentiel de vie, à réveiller nos aspirations profondes et à réaffirmer notre désir de réaliser les rêves qui nous habitent. C'est dans cette perspective que nous pouvons saisir toute la richesse de l'existence, en cultivant cette étincelle de vie qui brûle en chacun de nous.



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