Maxime - home
Les proverbes ça m'énerve... Alors j'ai préféré les parodier!! N'hésitez pas à les utiliser...
"Abondance de riens ne nuit pas aux riches
A cœur vaillant, survie possible
A la chandeleur, l’hiver passe et beaucoup meurent
L’appétit vient sans repas
Après la pluie, l’odeur du macadam
L’argent a de l’odeur, une puanteur sociale
A tout seigneur, guillotine d’honneur
Au royaume des aveugles, les chiens se regardent mal
Aux grands maux, les créations d’emploi
Avec des «scies », on mettrait Paris en rondelles
A vieille mule, euthanasie
Les beaux habits se rencontrent toujours
Bien faire et le dire aussi
Bon sang ne saurait contaminer
C’est au pied du mur qu’on comprend mieux le tag
C’est en forgeant qu’on devient chômeur
Chacun pour soi et l’anarchie pour tous
Charbonnier est maître des silicosés
Charité bien ordonnée commence par les pauvres
Le chat parti, l’allergie en moins
Les chiens aboient, les Bohémiens sont chassés
Cœur qui soupire n’a pas nécessairement de l’asthme
Comme on fait son lit, on fait l’amour
Les cordonniers mangent souvent de la semelle
Méfiance est mère de solitude
De la discussion jaillit aussi la connerie
Deux avis valent souvent moins que le tien
L’enfer est pavé de violeurs de bonnes sœurs intentionnées
La faim fait aussi mourir le loup
Faute de grives, il n’y a plus de raisin
La fortune vient aussi en trichant
Des goûts et des couleurs, ne discutent que les aveugles dégoûtés
La bite ne fait pas le moine
Il faut que jeunesse s’éternise
Il faut qu’il n’y ait plus de porte
Il faut rendre sur César, ce qui appartient au dégoût
Il faut tourner la langue, sept fois dans la bouche d’une inconnue pour attraper l’herpès
Il faut jurer de tout
Il ne faut pas dire : « Vignoble, je ne boirai qu’un tonneau ! »
Il n ‘est pire aveugle que celui qui est aussi sourd-muet
Il y a plein de sous métiers
Il n’y a pas de fumée sans usine
Il n’y a que les premiers pas qui coûtent cher
Il vaut mieux aller au bistrot qu’à la guerre
Il vaut mieux avoir affaire à Dieu qu’à la Messe
L’intention vaut le silence, c’est à dire rien du tout
Les loups se mangent entre eux, quand il n’y a plus de brebis
Mauvaise herbe, ne doit être coupée
Brûler la charrue et libérer les bœufs
Mieux vaut tard qu’à l’avance
Tempête en novembre, t’en chies en décembre
Les murs devraient avoir les oreilles de Van Gogh
Ne fait pas aux truies, ce que tu ne fais pas aux cochons
N’endormez pas le chien qui mord
Nul n’est prophète sans prophétie
On reconnaît l’arbre quand il n’est pas en bûches
Paris ne se fait pas en un jour, mais en mille nuits
Pierre qui roule, ramasse une rousse, place Pigalle
Plus on est de fous, mieux on se comprend
Prudence est aussi mère de lâcheté
Quand on veut noyer son chien, on ne l’apprend pas à nager
Qui a bu, aura la gueule de bois
Qui aime bien, n’aime pas assez
Quiconque se sert de l’épée, périra par le pistolet
Qui prête aux pauvres, donne de moins en moins
Qui dîne, dort après
Qui dit mot qu’on sent, a mauvaise haleine
Qui sème le vent récolte la poussière
Qui se ressentent, s’assemblent
Qui s’y frotte, se soulage
Qui va à la chasse, sèche la classe
Qui veut la fin réclame une corde
Rien ne sert de rouler vite, il faut garder ses points
Riront bien qui riront ensemble
Rome ne s’est pas faite sans esclave
Si jeunesse savait, si vieillesse aussi
Le temps, c’est de l’argent pour les riches et du temps à tirer pour les pauvres
Tous les fous sont dans la nature
Tous les chemins mènent au rhum
Tout nouveau, tout cher
Une loi n’est pas coutume
Une hirondelle ne fait pas l’immigrant
Un homme averti en envoie deux autres à sa place
Ventre affamé est sourd
Vouloir, c’est souvent s’endetter
Yeux pour œil, mâchoire pour dent"
Extrait de mon recueil : Des aulnes et des zones